Tout ce qui est terrestre est destiné à mourir, dans une destruction totale, car dans ce monde, tout est éphémère et rien n’est éternel. Les personnes physiques et morales naissent et disparaissent à l’instar des bêtes et des objets créés par l’Homme.
Un examen approfondi du Droit successoral camerounais démontre que ‘‘le mort saisit le vif’’, c’est- à -dire qu’il y a un lien entre la vie et la mort : Le Droit successoral camerounais est le droit qui étudie les conséquences de la mort d’une personne. Mais, il est également tourné vers l’avenir. C’est le droit de la vie, car il régit la transmission des biens des personnes décédées de générations en générations au Cameroun, par voie légale ou par voie testamentaire.